Alain Fraval / Peintures / Paysages ?
Qui
suis-je ? / Who is me?
En deux mots... Né en 1944, je commence mes études, assez brillamment, à l'école du Centre, à Asnières (Hauts-de-Seine), en classe de petite maternelle, et les achève - plus laborieusement - à Paris, à l'Institut national agronomique, rue Claude-Bernard, en même temps qu'à la faculté des Sciences, quai Saint-Bernard. Ingénieur agronome et diplômé d'études approfondies en entomologie, je suis recruté par l'Institut national de la recherche agronomique, comme chercheur, sur le sujet des pucerons. Après avoir été directeur de labo et professeur à l'Institut agronomique et vétérinaire Hassan II, à Rabat au Maroc, durant près de vingt ans, je reviens à Paris, à l'INRA pour prendre en charge diverses réalisations dans le domaine de l'édition scientifique. Notamment, je rédige-en-chef le Courrier de l'environnement de l'INRA. Tout jeune retraité, je continue à oeuvrer en télébénévole pour l'association "Office pour les insectes et leur environnement", en m'occupant de sa revue Insectes et de son site Internet. J'ai
donc fait de hautes
études, enseigné, dirigé des
thèses et vulgarisé - mais pas en peinture,
domaine que
je n'ai
abordé (venant de la photo) en autodidacte bien
isolé que
vers
la trentaine. J'ai réalisé jusqu'à ma retraite en 2004 mes tableaux
durant
mes loisirs. À mes moments perdus, quand la
lumière du
jour
fait défaut et que je ne suis pas devant l'ordinateur, je
bâtis, depuis 2000,
un petit monde
ferroviaire (ReFeRe) J'ai réalisé mes tableaux sous la lumière de Rabat, puis de Boulogne-Billancourt et de Vignol - dans une chambre, dans le grenier, désormais dans un atelier neuf, lumineux, ouvert sur le paysage bocager des vaux d'Yonne. Les découpures et rebuts de carton et de plastique laissés par mon activité de maquettiste ferroviaire m'ont inspiré en 2018 des assemblages, à plat et en volume, rassemblés sous l'appellation "ardurbu" et dont les spécimens prolifèrent. Tout en continuant à peindre, toujours à l'huile et aux couteaux de carrossier, sur carton, papier et récemment sur feuilles de polyester. Ni les maquettes de la ReFeRe, ni les peintures, ni les ardurbus ne portent de message. Ils sollicitent l'imagination du regardeur ; toutes les interprétations sont possibles mais nullement obligatoires. Ils sont tous faits de chic, sans aucune préparation. |
Born in 1944, I made a rather brilliant start at kindergarten in Asnières (near Paris), leading to a valiant achievement at "Institut National Agronomique" in Paris, rue Claude-Bernard, not forgetting simultaneously graduating at "Faculté des Sciences", quai Saint-Bernard. As agronomy engineer with a doctorate in entomology, I joined "Institut National de la Recherche agronomique" as expert on aphids. Later, as professor at "Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II" in Rabat Morocco for twenty years I was also in charge of the laboratory department. Then I returned to INRA Paris as editor in chief of their magazine "Le Courrier de l'environnement de l'INRA" also as consultant on scientific publishing for various projects. Despite my recent retirement I am asssociated with "Office pour les insectes et leur environnement" in charge of their review "Insectes" and its web site. Along with this professional practice in teaching students, supervising memoirs and vulgarizing agronomic science, came my thirties, and I ventured into the pictorial field as a self teaching convert. With painting as my “violon d’Ingres” being a kind of erratic soul searching leisure, I still have a choice of sitting at my computer or building a model railway layout (ReFeRe) when daylight is inappropriate. My paintings have been blessed with the shades of light which I captured in the city of Rabat or in my attic at Boulogne-Billancourt and now in the village of Vignol, in a brand new atelier withpouring light overlooking bocage landscape of the Yonne river. The cutouts and scrap of cardboard and plastic left by my activity as a railway model maker inspired me in 2018 for assemblies, flat and in volume, brought together under the name "ardurbu" and whose specimens are proliferating. While continuing to paint, always in oil and with bodybuilder's knives, on cardboard, paper and recently on polyester sheets. Neither the models of the ReFeRe, nor the paintings, nor the ardurbus carry a message. They appeal to the viewer's imagination; all interpretations are possible but by no means obligatory. They are all made chic, without any preparation. |
A.F.
Alain Fraval / Paintings / Landscapes?